Sur mon bureau ce matin : Un diplôme de sabreur réalisé pour le Champagne Mumm.
En plein Jeux Olympiques c’est l’occasion d’un clin d’oeil à notre équipe de France d’escrime qui figure parmi les meilleures au monde.
L’occasion de rendre hommage à Laura Flessel, “la guêpe”, porte drapeau de la délégation française aux JO de Londres et qui malheureusement n’a pas pu renouveler ses exploits passés.
Toutefois, nous devrions Sabrer le Champagne afin de célébrer de belles victoires même si, bien sur, l’important est de participer !
Petit rappel historique , l’escrime est en effet un des sports “historiques” des JO
Présent dès 1896, l’histoire de l’escrime se confond avec celle des Jeux olympiques, il fait aussi partie des 4 sports ayant toujours figuré au programme olympique. Noblesse, honneur, respect et tradition, telles sont les valeurs de l’escrime que le baron Pierre de Coubertin et le comité de l’époque ont voulu intégrer dans l’idéal olympique
Au début des Jeux olympiques, l’escrime était une des rares disciplines dans laquelle des escrimeurs professionnels, des « maîtres », pouvaient participer. Les premières compétitions olympiques de sabre et d’épée en 1896 et 1900 furent d’ailleurs disputés par des maîtres. Il fallut attendre 1924 pour voir débuter les premières épreuves féminines.
Aux Jeux olympiques, il existe des épreuves individuelles et par équipes (entre trois escrimeurs par équipe qui s’affrontent en duel) déclinés en trois armes : le fleuret, l’épée et le sabre.
source : wikipedia