Depuis l’entrée en Bourse de Twitter en Novembre dernier, une statistique déplait énormément aux investisseurs : 1 milliard d’utilisateurs auraient testé Twitter et l’auraient abandonné, faute d’en bien comprendre l’intérêt.
Branle bas de combat !
Il faut tout revoir, tout «simplifier», aller vers les “standards” graphiques du web social (ce qui veut dire en langage clair “copier facebook”).
Timeline, apparition d’une grande image en bannière (en cours de déploiement) et même l’autorisation de l’identification des utilisateurs dans les photos (vous pouvez le décocher dans les paramètres “sécurité-confidentialité”).
Les célèbres # Hashtags (Mot-dièse en français) et @ pour les mentions d’autres utilisateurs pourraient même à terme être supprimées.
Cette réalité de “convergence” nous mène à quelques réflexions.
La recherche de profit sur les réseaux sociaux passe par une utilisation massive de ceux-ci. Bizarrement très peu de réseaux misent sur le « qualitatif » au lieu du quantitatif. La doctrine actuelle est de rassembler tout le monde pour ensuite segmenter au maximum. Rien ne dit qu’à terme des réseaux “hypes” réservé à des “happy fews” triés sur le volet ne verront pas le jour (les “élites” aiment se distinguer)…
Pour accéder à cette massification une convergences des codes graphiques et d’utilisation est en train de s’opérer.
Toutefois si tous les réseaux se ressemblent quel en devient leur intérêt ?
L’uniformisation des réseaux pourrait donc à terme en laisser quelques uns à terre.
A vouloir trop d’uniformisation et de formatage on perd la saveur de la liberté règne sur le web et qui en fait son intérêt.